L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Les enfants jouent à la corde à sauter avec des volontaires. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Une fillette saute à la corde avec des volontaires d'associations. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Un enfant pose devant l'objectif en faisant le signe de la victoire. Camps d'Elliniko, Grèce le 12 avril 2016
Nasser a quitté son pays, l'Afghanistan, menacé par les Talibans, il y a trois mois. Il a traversé l'Irak, le Pakistan et la Turquie à pieds avant de monter dans un bateau pour la Grèce. Il pose fièrement avec sa cigarette électronique. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Afin de montrer leur cohésion et le soutien qui existe entre eux, plusieurs afghans réfugiés au camps d'Elliniko unissent leurs mains. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Le camps d'Elliniko compte environ 4500 réfugiés. Il est géré par une personne désignée par le gouvernement et surtout des volontaires. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'équipe de Solidarités International se dirige vers le Hockey Stadium, sur le camps d'Elliniko. Les stades de hockey et baseball sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisés pour les jeux olympiques de 2004 sont devenus des camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Zahna, quatre mois, est afghane. Elle est arrivée en Grèce il y a deux mois avec ses parents. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Jamil 18 ans & Ali 18 ans, sont afghans. Ils regardent par la fenêtre du camps d'Elliniko I. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Ghulam est un afghan hazara. Il a fait plusieurs dessins sur les murs de la pièce. Il a notamment repris le logo des Nations Unies mais a tournée les mains qui d'habitude protège l'homme au centre, afin de montrer le rejet qu'ils subissent. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Snam, une jeune femme réfugiée, et sa maman Zermina, discutent avec Pierre Brunet et propose ses services de traductrice à l'ONG Solidarités International . Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Les stades, déserts, permettent au réfugiés de se divertir autour de quelques jeux improvisés. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Un jeune afghan joue au foot dans les escaliers du camps d'Elliniko I. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Quelques grandes tentes ont été installées sur l'ancien site olympique d'Elliniko. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Des habits de réfugiés sèchent au soleil sur les grilles du camps d'Elliniko. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une femme s'assoit avec un bébé devant les tentes de réfugiés et une distribution de vêtements pour enfants, sur le port du Pirée E2, près d'Athènes. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Distribution de vêtements pour enfants sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Un salon de coiffure s'est improvisé sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes dans un hangar sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des femmes et des enfants nettoyent leur habits et divers objets sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite irakienne de 4 ans pose avec sa maman sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des femmes et des enfants nettoyent leur habits et divers objets sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite irakienne de 4 ans sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Isna, jeune afghane de 9 ans, pose avec sa maman sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Naïm, jeune afghan, pose avec un ballon sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite fille réfugiée et son cartable sur le port du Pirée. Non loin de là se trouvent les tentes et l'activité du camps. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Leur tente est grande ouverte, je lui demande si elle veut bien que je les prenne en photo. Elle accepte, remet son voile, prend tendrement sa fille dans ses bras et pose pour mon objectif, sur le quai du port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, souhaitant la bienvenue aux réfugiés et demandant à Frontex, l'agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières des Etats membres de l'Union européenne, de s'en aller. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Contre la forteresse européenne, solidarité avec les immigrants et réfugiés", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Solidarité avec les réfugiés", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Pas de frontièress, pas de nation, révolution sociale", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes de réfugiés sur le port du Pirée, près d'Athènes. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien hall d'arrivée est devenu entrepot de stockage. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
"Limousine Service" est inscrit sur cet abri qui sert désormais de refuge pour les tentes des migrants sur le camps d'Elliniko près d'Atnènes. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une jeune femme nettoie sa vaisselle devant sa tente, sur le camps d'Elliniko, près d'Athènes. Les gestes du quotidien sont retrouvés, dans des conditions très précaires. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Trois jeunes afghans posent devant leur campement sur le camps d'Elliniko. Venus de Kunduz, ils ont fuit la guerre qui allait reprendre dans leur pays après la saison d'hiver. Ils souhaitent aller en Europe pour continuer leurs études, notamment de droit et de médecine. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Le smartphone permet de rester connecté avec les proches, de connaitre les informations et d'écouter de la musique. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Pour venir jusqu'en Grèce et fuir la guerre dans leur pays, ces jeunes afghans ont du beaucoup marcher, se cacher, monter dans un bateau de 9m avec 80 personnes, passer 1à jours dans les prisons turques, se faire malmener par la police macédoine... Leur rêve : continuer leurs études en Europe. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un jeune afghan nous montre les photos de son téléphone et le moment où la police turque a arrêté leur bateau qui partait pour la Grèce. Ils sont donc passés par la prison avant de remonter dans un bateau de 9m avec 80 perosnnes. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Ces jeunes afghans ont fuit leur pays à l'appel de Merkel, et avant la 'saison de la guerre' chaque été en Afghanistan. Après un long et périlleux voyage, ils attendent en Grèce que les frontières s'ouvrent. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Pierre Brunet de Solidarités International marche dans les étages du camps d'Elliniko, dans l'ancien stade de hockey. Les réfugiés ont créé leurs espaces, essayant au mieux de garder leur intimité. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Yves de Solidarités International sur le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un jeune afghan de 21 ans pose avec le document délivré par la Grèce à son arrivée sur le continent. Ce papier lui permet notamment d'avoir accès aux distributions organisées sur le camps. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un jeune afghan de 21 ans nous montre ses papiers reçus à son arrivée en Grèce. Ce document lui permet notamment d'avoir accès aux distributions organisées sur le camps. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une jeune réfugiée apprend avec ses amies des notions de grecs et d'anglais dnas le camps d'Elliniko. Le temps est long dans ces camps où l'éducation s'est arrêtée. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Distribution des repas de l'armée, avec Solidarités International, des volontaires, et des réfugiés bénévoles. Le repas servi est celui des militaires : une portion de lentilles et un bout de pain. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une petite fille réfugiée dans le camp d'Elliniko. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un vieux train a été aménagé par les réfugiés près de l'ancienne gare d'Idomeni. Un jeune garçon se balade dans les couloirs. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un enfant sort de sa tente, dans la gare d'Idomeni, près des rails. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un point d'eau du camps de réfugiés d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un point d'eau pour les réfugiés. Il est bouché, l'eau déborde. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un enfant remplit des bouteilles en plastique sur un pôint d'eau du camps d'Idomeni, envahi de boue. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Les tentes des réfugiés ont envahi la gare d'Idomeni. C'est un terrain propice aux inondations, les conditions de vie y sont très précaires. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Les tentes sur les rails de la gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Inscription sur la gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Depuis plusieurs semaines, voir des mois pour certains réfugiés, leur maison ne ressemble qu'à ces tentes. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un vieil homme se rase la barbe sur le quai de la gare d'Idomeni, à côté des rails et des centianes de tentes installées. Un geste du qotidien permettant de garder une dignité. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Cet homme prépare le diner pour sa famille, dans des conditions rudimentaires. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une mère de famille se lave les mains sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Le Haut Commissariat au Réfugiés a fait des donations de tentes, de couvertures etc aux réfugiés d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Vnu d'Alep pour échapper à la guerre, ce réfugié syrien a 26 ans. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Couverture de survie abandonnée. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Jeune fille kurde de Syrie. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, certains volontaires étrangers ont ouvert un 'centre culturel' dans lequel sont donnés des cours de langues pour petits et grands, grâce à des volontaires étrangers ou réfugiés. Une petite fille me montre son cahier et ses lignes d'écriture. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une femme cuisine comme elle peut pour son enfant sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une des distributions sur le camps d'Idomeni. Celle-ci est réalisée par des bénévoles, en musique. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une tente sur le camps. L'intimité est quasi inexistente. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Des habits sèchent sur les barbelés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Trois jeunes filles kurdes improvisent un concert près du camps d'Idomeni, au coucher du soleil. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Trois jeunes filles kurdes improvisent un concert près du camps d'Idomeni, au coucher du soleil. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Beaucoup de tentes de réfugiés occupent désormais la place des rails à l'ancienne gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Beaucoup de tentes de réfugiés occupent désormais la place des rails à l'ancienne gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Message inscrit sur une tente du camps "Liberté maintenant!". 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des employés de Medecons Sans Frontières nettoient les lattrines du camps. L'hygiène est un enjeu majeur dans ce genre de situation. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Plusieurs points d'eau existent sur le camp où 11 000 réfugiés se retrouvent et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Un jeune garcon dans le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une mosquée improvisée sur le camp d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Un enfant marche vers une distribution sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une volontaire porte un panneau expliquant en anglais et en arabe de quelle distribution il s'agit. Ici des chaussures pour enfants, très nombreux dans les camps. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des chaussures gisent sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Najar présente le seul document officiel qu'elle possède, récupéré lors de son arrivée en Grèce. Elle a fuit la Syrie pour retrouver son fils et son mari en Allemagne, avec sa belle fille et son petit fils de 6 mois. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Yassine est un ancien fermier, il a fuit la Syrie et cherche à rejoindre Stutgart où une partie de sa famille vie désormais. Il nous invite à prendre le café sous une tente qui la journée fait office de salon avec d'autres réfugiés avec qui il a fait la route. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, cette mère de famille attend avec ses enfants et son bébé, de pouvoir passer la frontière entre la Grèce et la Macédoine. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Fin du voyage pour les réfugiés, la frontière est fermée, la police barre la route. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
File d'attente pour une consultation médicale. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une petite fille vient remplir sa bouteille d'eau sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
"They are starving, let them cross the border" est inscrit sur une tente sur le camps d'Idomeni, ainsi que plusieurs pays dont sont issus les réfugiés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, la police grecque garde la frontière avec la Macédoine, également surveillée par les militaires macédoniens. Les réfugiés attendent parfois depuis plusieurs mois de pouvoir passer. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. On voit néanmoins les signes d'une tentative de passage avec les couvertures et vêtements qui recouvrent les barbelés afin de ne pas blesser celui qui tente de passer. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. Certaines tentes ne sont qu'à quelques mètres de cette séparation. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Beaucoup d'enfants se retrouvent dans ce camps. Souvent les pères de familles sont passés avant leur familles et c'est désormais les femmes et les enfants qui tentent de les rejoindre en Europe. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des parents et leurs jumelles rentrent sur le camp d'Idomeni dans lequel il sattendent de pouvoir passer la frontière. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Abdul est kurde, il pose avec sa petite fille à peine agée de quelques mois, dans le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Imane est originaire de Syrie. Ancienne institutrice, elle a quitté Deir ez-Zor il y a quatre mois, avec six de ses enfants (entre 2 et 15 ans), pour rejoindre son mari, ancien ingénieur en électricité et un autre enfant, partis plus tôt en Allemagne. Après avoir marché jusqu'en Turquie, elle a payé des passeurs pour monter dans un bateau vers la Grèce avec ses enfants. Lorsqu'ils sont arrivés à Tabanovce en Macédoine, après être passés par Idomeni, la frontière était encore ouverte et ils avaient tous les papiers nécessaires. Sans qu'elle ne comprenne vraiment pourquoi, peut-être car sa ville d'origine est désormais aux mains de Daesh, les serbes lui ont refusé le passage. Elle attend donc depuis deux mois dans ce camps, fatiguée et sans argent, avec l'espérance d'un futur regroupement familial ou de l'ouverture des frontières.
Imane pose ici avec quatre de ses enfants, dans une tente installée par l'UNHCR dans le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant dans le Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Ils ont emmené beaucoup de souvenirs avec eux : des photos de lui faisant du kung-fu, en habit de policier, le mariage de ses parents, son diplôme d’ingénieur en cartographie, et un K7 d’un film dans lequel il a joué, avant d’être officier de police. Dans ce film il caricature un moudjahidin aujourd’hui haut placé, il craint pour sa sécurité. Camps de Tabanovce, 16 avril 2016
Cette famille afghane a fuit son pays il y a cinq mois, principalement pour trouver un médecin qui pourrait soigner Khalil, le fils handicapé qui vient d'avoir 18 ans. Ali, le père était fermier. Ils retourneront en Afghanistan si la fronière n'ouvre pas, mais personne n'a gardé leur ferme et ils risquent de ne rien retrouvé dans leur village. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant et sa maman qui cuisine. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant joue avec la porte du camp. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Le corridor était très utilisé il y a encore peu de temps, quand la Macédoine délivrait des laissers-passer de 72h sur son territoire. Avec la fermeture des frontières européennes la donne a changé et le passage n'est plus autorisé. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Vue sur le corridor anciennement emprunté par de nombreux réfugiés pour passer en Serbie quand la Macédoine délivrait encore des laisser-passer de 72h sur son territoire. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Rachid, Limar et Juma ont le sentiment d'être lésés car ils n'ont pas de tentes dures comme les autres, et surtout de vivre en prison. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Si la situation est difficile, les sourires n'ont pas complétement disparus. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Les enfants jouent à la corde à sauter avec des volontaires. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Une fillette saute à la corde avec des volontaires d'associations. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Un enfant pose devant l'objectif en faisant le signe de la victoire. Camps d'Elliniko, Grèce le 12 avril 2016
Nasser a quitté son pays, l'Afghanistan, menacé par les Talibans, il y a trois mois. Il a traversé l'Irak, le Pakistan et la Turquie à pieds avant de monter dans un bateau pour la Grèce. Il pose fièrement avec sa cigarette électronique. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Afin de montrer leur cohésion et le soutien qui existe entre eux, plusieurs afghans réfugiés au camps d'Elliniko unissent leurs mains. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Le camps d'Elliniko compte environ 4500 réfugiés. Il est géré par une personne désignée par le gouvernement et surtout des volontaires. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
Camps d'Elliniko II, Grèce le 12 avril 2016
L'équipe de Solidarités International se dirige vers le Hockey Stadium, sur le camps d'Elliniko. Les stades de hockey et baseball sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisés pour les jeux olympiques de 2004 sont devenus des camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Zahna, quatre mois, est afghane. Elle est arrivée en Grèce il y a deux mois avec ses parents. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Jamil 18 ans & Ali 18 ans, sont afghans. Ils regardent par la fenêtre du camps d'Elliniko I. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Ghulam est un afghan hazara. Il a fait plusieurs dessins sur les murs de la pièce. Il a notamment repris le logo des Nations Unies mais a tournée les mains qui d'habitude protège l'homme au centre, afin de montrer le rejet qu'ils subissent. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Snam, une jeune femme réfugiée, et sa maman Zermina, discutent avec Pierre Brunet et propose ses services de traductrice à l'ONG Solidarités International . Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Les stades, déserts, permettent au réfugiés de se divertir autour de quelques jeux improvisés. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Un jeune afghan joue au foot dans les escaliers du camps d'Elliniko I. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Quelques grandes tentes ont été installées sur l'ancien site olympique d'Elliniko. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Des habits de réfugiés sèchent au soleil sur les grilles du camps d'Elliniko. Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Le stade de hockey sur le site d'Elliniko et dernièrement utilisé pour les jeux olympiques de 2004 est devenu camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko I, Grèce le 12 avril 2016
Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une femme s'assoit avec un bébé devant les tentes de réfugiés et une distribution de vêtements pour enfants, sur le port du Pirée E2, près d'Athènes. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Distribution de vêtements pour enfants sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Un salon de coiffure s'est improvisé sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes dans un hangar sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes sur le port du Pirée E2. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des femmes et des enfants nettoyent leur habits et divers objets sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite irakienne de 4 ans pose avec sa maman sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des femmes et des enfants nettoyent leur habits et divers objets sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite irakienne de 4 ans sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Isna, jeune afghane de 9 ans, pose avec sa maman sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Naïm, jeune afghan, pose avec un ballon sur le port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Une petite fille réfugiée et son cartable sur le port du Pirée. Non loin de là se trouvent les tentes et l'activité du camps. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Leur tente est grande ouverte, je lui demande si elle veut bien que je les prenne en photo. Elle accepte, remet son voile, prend tendrement sa fille dans ses bras et pose pour mon objectif, sur le quai du port du Pirée. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, souhaitant la bienvenue aux réfugiés et demandant à Frontex, l'agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières des Etats membres de l'Union européenne, de s'en aller. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Contre la forteresse européenne, solidarité avec les immigrants et réfugiés", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Solidarité avec les réfugiés", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Message inscrit sur le port du Pirée, "Pas de frontièress, pas de nation, révolution sociale", accompagné d'un signe anarchiste. L'Europe a fermé ses portes aux réfugiés en janvier, ils se retrouvent donc bloqués en Grèce notamment. Ce camps de réfugiés informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
Des tentes de réfugiés sur le port du Pirée, près d'Athènes. Ce camps informel s'étend sur le port, à côté des paquebots de touristes qui débarquent en Grèce. Port du Pirée, Grèce le 12 avril 2016
L'ancien hall d'arrivée est devenu entrepot de stockage. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
"Limousine Service" est inscrit sur cet abri qui sert désormais de refuge pour les tentes des migrants sur le camps d'Elliniko près d'Atnènes. L'ancien aéroport d'Athènes, sur le camps d'Elliniko est désaffecté depuis plusieurs années. Aujourd'hui il est devenu un camps de réfugiés pour les migrants venus de Syrie, d'Afghanistan ou d'ailleurs. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une jeune femme nettoie sa vaisselle devant sa tente, sur le camps d'Elliniko, près d'Athènes. Les gestes du quotidien sont retrouvés, dans des conditions très précaires. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Trois jeunes afghans posent devant leur campement sur le camps d'Elliniko. Venus de Kunduz, ils ont fuit la guerre qui allait reprendre dans leur pays après la saison d'hiver. Ils souhaitent aller en Europe pour continuer leurs études, notamment de droit et de médecine. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Le smartphone permet de rester connecté avec les proches, de connaitre les informations et d'écouter de la musique. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Pour venir jusqu'en Grèce et fuir la guerre dans leur pays, ces jeunes afghans ont du beaucoup marcher, se cacher, monter dans un bateau de 9m avec 80 personnes, passer 1à jours dans les prisons turques, se faire malmener par la police macédoine... Leur rêve : continuer leurs études en Europe. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un jeune afghan nous montre les photos de son téléphone et le moment où la police turque a arrêté leur bateau qui partait pour la Grèce. Ils sont donc passés par la prison avant de remonter dans un bateau de 9m avec 80 perosnnes. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Ces jeunes afghans ont fuit leur pays à l'appel de Merkel, et avant la 'saison de la guerre' chaque été en Afghanistan. Après un long et périlleux voyage, ils attendent en Grèce que les frontières s'ouvrent. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Pierre Brunet de Solidarités International marche dans les étages du camps d'Elliniko, dans l'ancien stade de hockey. Les réfugiés ont créé leurs espaces, essayant au mieux de garder leur intimité. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Yves de Solidarités International sur le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un jeune afghan de 21 ans pose avec le document délivré par la Grèce à son arrivée sur le continent. Ce papier lui permet notamment d'avoir accès aux distributions organisées sur le camps. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un jeune afghan de 21 ans nous montre ses papiers reçus à son arrivée en Grèce. Ce document lui permet notamment d'avoir accès aux distributions organisées sur le camps. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une jeune réfugiée apprend avec ses amies des notions de grecs et d'anglais dnas le camps d'Elliniko. Le temps est long dans ces camps où l'éducation s'est arrêtée. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Distribution des repas de l'armée, avec Solidarités International, des volontaires, et des réfugiés bénévoles. Le repas servi est celui des militaires : une portion de lentilles et un bout de pain. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Une petite fille réfugiée dans le camp d'Elliniko. Camps d'Elliniko, Grèce le 13 avril 2016
Un vieux train a été aménagé par les réfugiés près de l'ancienne gare d'Idomeni. Un jeune garçon se balade dans les couloirs. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un enfant sort de sa tente, dans la gare d'Idomeni, près des rails. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un point d'eau du camps de réfugiés d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un point d'eau pour les réfugiés. Il est bouché, l'eau déborde. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un enfant remplit des bouteilles en plastique sur un pôint d'eau du camps d'Idomeni, envahi de boue. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Les tentes des réfugiés ont envahi la gare d'Idomeni. C'est un terrain propice aux inondations, les conditions de vie y sont très précaires. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Les tentes sur les rails de la gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Inscription sur la gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Depuis plusieurs semaines, voir des mois pour certains réfugiés, leur maison ne ressemble qu'à ces tentes. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Un vieil homme se rase la barbe sur le quai de la gare d'Idomeni, à côté des rails et des centianes de tentes installées. Un geste du qotidien permettant de garder une dignité. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Cet homme prépare le diner pour sa famille, dans des conditions rudimentaires. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une mère de famille se lave les mains sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Le Haut Commissariat au Réfugiés a fait des donations de tentes, de couvertures etc aux réfugiés d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Vnu d'Alep pour échapper à la guerre, ce réfugié syrien a 26 ans. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Couverture de survie abandonnée. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Jeune fille kurde de Syrie. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, certains volontaires étrangers ont ouvert un 'centre culturel' dans lequel sont donnés des cours de langues pour petits et grands, grâce à des volontaires étrangers ou réfugiés. Une petite fille me montre son cahier et ses lignes d'écriture. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une femme cuisine comme elle peut pour son enfant sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une des distributions sur le camps d'Idomeni. Celle-ci est réalisée par des bénévoles, en musique. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Une tente sur le camps. L'intimité est quasi inexistente. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Des habits sèchent sur les barbelés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Trois jeunes filles kurdes improvisent un concert près du camps d'Idomeni, au coucher du soleil. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Trois jeunes filles kurdes improvisent un concert près du camps d'Idomeni, au coucher du soleil. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 14 avril 2016
Beaucoup de tentes de réfugiés occupent désormais la place des rails à l'ancienne gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Beaucoup de tentes de réfugiés occupent désormais la place des rails à l'ancienne gare d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Message inscrit sur une tente du camps "Liberté maintenant!". 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des employés de Medecons Sans Frontières nettoient les lattrines du camps. L'hygiène est un enjeu majeur dans ce genre de situation. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Plusieurs points d'eau existent sur le camp où 11 000 réfugiés se retrouvent et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Un jeune garcon dans le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une mosquée improvisée sur le camp d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Un enfant marche vers une distribution sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une volontaire porte un panneau expliquant en anglais et en arabe de quelle distribution il s'agit. Ici des chaussures pour enfants, très nombreux dans les camps. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des chaussures gisent sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Najar présente le seul document officiel qu'elle possède, récupéré lors de son arrivée en Grèce. Elle a fuit la Syrie pour retrouver son fils et son mari en Allemagne, avec sa belle fille et son petit fils de 6 mois. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Yassine est un ancien fermier, il a fuit la Syrie et cherche à rejoindre Stutgart où une partie de sa famille vie désormais. Il nous invite à prendre le café sous une tente qui la journée fait office de salon avec d'autres réfugiés avec qui il a fait la route. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, cette mère de famille attend avec ses enfants et son bébé, de pouvoir passer la frontière entre la Grèce et la Macédoine. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Fin du voyage pour les réfugiés, la frontière est fermée, la police barre la route. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
File d'attente pour une consultation médicale. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Une petite fille vient remplir sa bouteille d'eau sur le camps d'Idomeni. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
"They are starving, let them cross the border" est inscrit sur une tente sur le camps d'Idomeni, ainsi que plusieurs pays dont sont issus les réfugiés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Sur le camps d'Idomeni, la police grecque garde la frontière avec la Macédoine, également surveillée par les militaires macédoniens. Les réfugiés attendent parfois depuis plusieurs mois de pouvoir passer. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. On voit néanmoins les signes d'une tentative de passage avec les couvertures et vêtements qui recouvrent les barbelés afin de ne pas blesser celui qui tente de passer. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Grilles et barbelés, c'est la frontière entre la Grèce et la Macédoine à Idomeni. Un temps franchissable, elle est désormais fermée aux réfugiés. Certaines tentes ne sont qu'à quelques mètres de cette séparation. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Beaucoup d'enfants se retrouvent dans ce camps. Souvent les pères de familles sont passés avant leur familles et c'est désormais les femmes et les enfants qui tentent de les rejoindre en Europe. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Des parents et leurs jumelles rentrent sur le camp d'Idomeni dans lequel il sattendent de pouvoir passer la frontière. 11 000 réfugiés se retrouvent dans ce camps sauvage et attendent de pouvoir passer la frontière qui a fermé ses portes. Camps d'Idomeni, frontière greco-macédonienne, 15 avril 2016
Abdul est kurde, il pose avec sa petite fille à peine agée de quelques mois, dans le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Imane est originaire de Syrie. Ancienne institutrice, elle a quitté Deir ez-Zor il y a quatre mois, avec six de ses enfants (entre 2 et 15 ans), pour rejoindre son mari, ancien ingénieur en électricité et un autre enfant, partis plus tôt en Allemagne. Après avoir marché jusqu'en Turquie, elle a payé des passeurs pour monter dans un bateau vers la Grèce avec ses enfants. Lorsqu'ils sont arrivés à Tabanovce en Macédoine, après être passés par Idomeni, la frontière était encore ouverte et ils avaient tous les papiers nécessaires. Sans qu'elle ne comprenne vraiment pourquoi, peut-être car sa ville d'origine est désormais aux mains de Daesh, les serbes lui ont refusé le passage. Elle attend donc depuis deux mois dans ce camps, fatiguée et sans argent, avec l'espérance d'un futur regroupement familial ou de l'ouverture des frontières.
Imane pose ici avec quatre de ses enfants, dans une tente installée par l'UNHCR dans le camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant dans le Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Ils ont emmené beaucoup de souvenirs avec eux : des photos de lui faisant du kung-fu, en habit de policier, le mariage de ses parents, son diplôme d’ingénieur en cartographie, et un K7 d’un film dans lequel il a joué, avant d’être officier de police. Dans ce film il caricature un moudjahidin aujourd’hui haut placé, il craint pour sa sécurité. Camps de Tabanovce, 16 avril 2016
Cette famille afghane a fuit son pays il y a cinq mois, principalement pour trouver un médecin qui pourrait soigner Khalil, le fils handicapé qui vient d'avoir 18 ans. Ali, le père était fermier. Ils retourneront en Afghanistan si la fronière n'ouvre pas, mais personne n'a gardé leur ferme et ils risquent de ne rien retrouvé dans leur village. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant et sa maman qui cuisine. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Un enfant joue avec la porte du camp. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Le corridor était très utilisé il y a encore peu de temps, quand la Macédoine délivrait des laissers-passer de 72h sur son territoire. Avec la fermeture des frontières européennes la donne a changé et le passage n'est plus autorisé. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Vue sur le corridor anciennement emprunté par de nombreux réfugiés pour passer en Serbie quand la Macédoine délivrait encore des laisser-passer de 72h sur son territoire. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Rachid, Limar et Juma ont le sentiment d'être lésés car ils n'ont pas de tentes dures comme les autres, et surtout de vivre en prison. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.
Si la situation est difficile, les sourires n'ont pas complétement disparus. Camps de Tabanovce, en Macédoine - 16 avril 2016.